Le maître mot du Chantier des Francos, c’est l’accompagnement. L’artiste se nourrit du Chantier, et inversement, dans une perspective évolutive de création artistique et musicale. Le Chantier, c’est l’épaule d’un ami sur laquelle l’artiste peut s’appuyer, c’est la main tendue pour aller vers la création de qualité. Pour mieux comprendre sa dynamique, les Francos Reporters ont rencontré Nathalie Dufrêne, l’une des personnes qui fait vivre la structure tout au long de l’année.
Episode 2 : une expérience qui bouscule.
Episode 3 : le Chantier, c’est une famille !
Direction le Chantier des Francos, où Laurent Michaud, le régisseur des lieux nous explique son métier.
La plupart du temps, il agit dans l’ombre, derrière ses consoles qui lui permettent de mettre en lumière les artistes. Mais aujourd’hui, on braque les projecteurs sur lui et il nous parle de son métier.
Les Francos Reporters en route vers La Sirène ! L’espace de musiques actuelles nous ouvre ses portes le temps d’une visite guidée, nous offrant même le privilège de découvrir quelques coulisses non accessibles au public.
C’est à la maison Deman que nous rencontrons Bénédicte Le Lay. Pleine d’énergie, elle nous accorde quelques minutes pour répondre à nos questions.
« Il n’y a de réel dans la musique que l’état où elle laisse l’âme », Stendhal.
À l’initiative de la Ville de La Rochelle et des Francofolies, le projet Francos Reporters initie plusieurs jeunes aux techniques du journalisme, et les accompagne dans leur compréhension du fonctionnement de la musique, de la chanson ainsi que de la maison Francofolies, le Chantier et le festival.
Dans les coulisses, ils œuvrent sans relâche à la réussite du festival. Leur job ? Trouver des partenaires privés pour les Francos, les accueillir le mieux possible et les rendre visibles. La troupe de Morgane nous accueille avec un grand sourire et beaucoup de bonne humeur. Et nous montre que le mot d’ordre, c’est le travail d’équipe !