Nemir nous accueille très chaleureusement à la loge du Casino. Il répond à nos questions dans l’enthousiasme et la bonne humeur, et parfois de manière surprenante !

Nemir ® Gaëlle

Francos Reporters : Pour vous, ici maintenant, ailleurs ce serait où ?

Nemir : C’est tout ce qui n’est pas ici, il n’y a pas d’endroit fixe, là ou on est pas, ce qu’on a pas… Pour moi, c’est tout le contraire de l’habitude, la lassitude et la routine.

Francos Reporters : Si vous étiez une oeuvre d’art ?

Nemir : Je serai un zizi en … granit ! (rires) !

Francos Reporters : Plutôt Disiz ou Orelsan ?

Nemir : Je ne vais pas pouvoir répondre. J’aime Orelsan pour certaines raisons et Disiz pour d’autres !

Francos Reporters : Si vous étiez une personnalité ?

Nemir : Louis de Funès, sans hésiter ! Ou Bruce lee !

Francos Reporters : Votre drogue préférée ?

Nemir : La cigarette.

Francos Reporters : A quoi pensez-vous dès que vous vous levez ?

Nemir : En fait, tout dépend de la veille. Par exemple si j’ai bossé en studio, je me réveille avec la mélodie et les paroles dans la tête. Si quelque chose m’a contrarié dans la soirée ou avant de dormir, j’y repense direct en me levant

Francos Reporters : Un homme ou une femme à mettre sur un billet de banque ?

Nemir : Louis de Funès. Et sur les billets de 500 !

Francos Reporters : Un mot ou une expression que vous détestez ?

Nemir : En géneral je déteste tout les dictons du style « une de perdue, dix de retrouvées »… Voilà, ces phrases toutes faites je ne peux pas supporter.

Francos Reporters : Un ou deux mots pour définir les Francos ?

Nemir : emblématique et incontournable

Francos Reporters : Comment vous voyez-vous dans 10 ans ?

Nemir : Plus vieux ! Pas très original, hein ? J’espère être toujours dans la musique, mais différemment, peut-être en jouant d’un instrument pour m’accompagner. J’aimerai bien un énorme orchestre.

Reportage : Samuel & Lunn

Photo : Gaëlle